jeudi 6 octobre 2016

LE 24 NOVEMBRE 2016 AU LYCEE DEODAT DE SEVERAC  TOULOUSE
LE SNASUB-FSU ORGANISE UN STAGE - COLLOQUE EPLE 
OUVERT A TOUS SYNDIQUES NON-SYNDIQUES

 
Madame, Monsieur, Cher(e) Collègue,


Ces dernières années, les EPLE ont fait l'objet de profondes transformations tant sur le plan structurel (regroupements comptables, fusions d'établissements...), qu'en termes de règles et de méthodes de travail (RCBC, dématérialisation...).
Les personnels administratifs se sont adaptés, encore et toujours; les modifications de leurs conditions de travail ont souvent été, et sont encore souvent, à l'origine de situations professionnelles difficiles compte tenu du contexte de politique d'austérité dans lequel ces modifications sont apparues, politique d'austérité au nom de laquelle des postes sont supprimés, des postes partagés sont implantés , des tâches sont transférées sans
que les moyens de les accomplir ne soient toujours donnés...
Les réformes en cours, notamment la réforme territoriale, impacteront également le fonctionnement de nos établissements.
Les personnels administratifs participent pleinement au bon fonctionnement des EPLE; il est de nouveau urgent que leurs problématiques soient clairement posées, que leurs métiers fassent l'objet de réflexions approfondies.
C'est pourquoi nous vous invitons à venir en débattre le :

jeudi 24 novembre 2016
au lycée Déodat de Séverac Toulouse
en présence de Marie Dolorès CORNILLON,
responsable nationale commission EPLE SNASUB-FSU

à l'occasion du colloque que le SNASUB-FSU organise sur :

La place des administratifs dans le système éducatif :« leurs rôles, leurs métiers, leurs valeurs, leurs statuts»

Deux thèmes seront abordés:
-9 h 30 12 h 30 : les missions administratives en EPLE et leurs reconnaissances

14 h 17 h: Statuts, carrières, Entretiens professionnels

Le compte rendu des débats de cette journée enrichira le colloque national sur l’EPLE que le SNASUB-FSU organisera à Paris, au Lycée Henri IV.
Cette journée de débats s’adresse à tous les collègues administratifs, quel que soit le grade ou la fonction occupée, dans le but d’avoir des échanges riches et constructifs avec le plus grand nombre d’entre vous. Vous trouverez donc ci-joint la demande d’autorisation d’absence au titre de la formation syndicale qui doit être déposée avant le 18 octobre 2016. Merci de bien vouloir ensuite renvoyer le bulletin d’inscription afin de pouvoir organiser techniquement cette journée.




DEMANDE D'AUTORISATION D'ABSENCE
POUR CONGE DE FORMATION SYNDICAL






NOM.....................................Prénom................................
Grade et fonction ..........................................................
Établissement...................................................................
à- Madame la Rectrice
de l’académie de Toulouse
s/c de Nom et fonction du Chef d'établissement ou de service - (1).

Conformément aux dispositions de la loi N° 84/16 du 11/01/1984 (article 34, alinéa 7) portant statut général des fonctionnaires (2), définissant l'attribution des congés pour formation syndicale avec maintien intégral du salaire, j'ai l'honneur de solliciter un congé le 24 novembre 2016 pour participer à un stage de formation syndicale.

Ce stage se déroulera au Lycée Déodat de Séverac à Toulouse.
Il est organisé par le SNASUB sous l'égide du Centre National de Formation Syndicale de la FSU, organisme agréé figurant sur la liste des Centres dont les stages ou sessions ouvrent droit aux congés pour la formation syndicale ((J.O.du 10 février 1995 et arrêté du 13 janvier 2009 pour la fonction publique et Arrété du 30 novembre 2009 modifiant l'arrêté du 9 février 1998 pour la fonction publique territoriale).

A....................................
Le....................................

Signature






(1) La demande doit être adressée par la voie hiérarchique un mois à l'avance.




mercredi 7 septembre 2016

A Toulouse, manifestation à l’appel de CGT - FO Solidaires - FSU - UNEF - UNL le 15 septembre à midi métro François Verdier. A St Gaudens, rassemblement à 17 heures place J Jaurès
La loi Travail n’est pas bonne pour les salarié-e-s et les jeunes. Elle ne le sera pas non plus pour l’économie du pays. Alors que le chômage et la précarité augmentent, en affaiblissant les conventions collectives au profit des accords d’entreprise, cette loi accroît la concurrence entre les entreprises poussant à l’alignement sur le « moins offrant » pour les salariés. Cette logique de dumping social va engendrer davantage de flexibilité et de précarité et remettre en cause nombre d’acquis sociaux.
Cette loi contrevient aux conventions 87, 98 et 158 de l’Organisation Internationale du Travail relatives à la négociation collective, aux libertés syndicales et aux licenciements.
Les organisations syndicales étudient tous les recours et moyens juridiques possibles pour s’opposer à la mise en œuvre de la loi Travail.
L’emploi, les salaires et les conditions de travail restent des préoccupations majeures pour les citoyen-ne-s. Le chômage et la précarité sont des fléaux pour notre pays. Les créations d’emplois, dans le privé comme dans le public, sont pourtant nécessaires pour répondre aux besoins de toute la société. La stabilité et la qualité des emplois sont non seulement gage de progrès social et de qualité de vie pour les salarié-e-s et les jeunes, mais sont aussi un facteur essentiel de création d’emplois. La loi Travail tourne le dos à cet enjeu ! Tous les pays qui ont fait l’expérience d’une telle réforme du droit du travail (Italie, Espagne, Portugal, Grèce, Allemagne) en mesurent aujourd’hui les conséquences néfastes.
Affaiblir le code du travail, c’est affaiblir les droits de tous les salarié-e-s !
Il est clair qu’à terme la fonction publique sera aussi concernée car nombre de règles statutaires relève de la transposition de dispositions du code du travail (dialogue social, respect de la hiérarchie des normes et des droits collectifs, temps de travail, etc.).
C’est pourquoi nos organisations continueront à mener tous les débats nécessaires avec les salarié-e-s et les jeunes pour, à l’inverse de cette loi, promouvoir d’autres propositions, obtenir son abrogation et gagner de nouveaux droits pour toutes et tous.
Pendant l’été, de nombreuses initiatives locales se sont développées et la carte postale au Président de la République a été largement utilisée. Comme nous l’avons écrit au Président de la République, « on se retrouve à la rentrée... », notamment sur les meetings et débats unitaires déjà programmés.
Les organisations dénoncent les faits de répression dont sont aujourd’hui victimes des militant-e-s syndicaux-ales, des jeunes, des salarié-e-s et des agents publics.
Les organisations syndicales de salarié-e-s et de jeunesse CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les salarié-e-s, privé-e-s d’emploi, étudiant-e-s, lycéen-ne-s, retraité-e-s à se mobiliser massivement pour réussir la journée d’actions du 15 septembre contre la loi Travail, selon des modalités décidées localement (rassemblements, manifestations, grèves, etc…), pour obtenir l’abrogation de cette loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

jeudi 2 juin 2016


COMMUNIQUE CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL
Le mépris ça suffit ! Le gouvernement doit entendre !

La journée du 23 juin a démontré une nouvelle fois la grande détermination des salarié-es, jeunes, privé-es d’emplois et retraité-es, à poursuivre la mobilisation pour obtenir le retrait du projet de loi Travail et des nouveaux droits.
De nombreuses actions multiformes ont eu lieu dans tout le pays, malgré toutes les tentatives du gouvernement pour discréditer le mouvement social, en agitant la peur et la remise en cause des libertés fondamentales à travers l’interdiction du droit à manifester à Paris.
Le climat social de notre pays se détériore, en témoigne les dégradations commises au siège de la CFDT hier soir. Les organisations syndicales et de jeunesses condamnent ces actes. Elles réaffirment leur attachement à la démocratie et au pluralisme d’expressions. Quelles que soient les positions des uns et des autres, les organisations syndicales représentent des salarié-es et à ce titre, elles doivent être respectées.
Le 23 juin a été également une journée importante de votation citoyenne.
C’est d’ores et déjà plusieurs centaines de milliers d’expressions des salarié-es, jeunes, privé-es d’emplois et retraité-es qui réaffirment très majoritairement leur opposition au projet de loi travail, particulièrement sur : l'inversion de la hiérarchie des normes, les accords de développement et de maintien de l'emploi, les conditions de licenciement, le référendum d'entreprise, la médecine du travail.
C’est lors d’une nouvelle journée d’actions, de grèves et de manifestations, le 28 juin, que seront remises ces votations auprès des préfectures dans les départements et auprès de la présidence de la République. Les organisations tiendront une conférence de presse le 28 juin au matin.
Le Président de la République persiste dans son refus d'entendre le mouvement syndical et les 70% de français-es opposé-es au projet de loi travail. Un tel mépris est inqualifiable.
Le gouvernement a la responsabilité pleine et entière de trouver une issue à cette crise.
Si le gouvernement reste sourd, elles appelleront à poursuivre la mobilisation durant le débat parlementaire, début juillet. Elles se retrouveront le 29 juin.
Les organisations apportent leur soutien à la journée de mobilisation contre la loi Peeters de ce jour en Belgique et leur ont adressé un message de solidarité.
Montreuil, le 24 juin 2016

mercredi 6 avril 2016

CTA 14 MARS 2016

le SNASUB FSU a siégé lors de cette instance et a fait une déclaration préalable :


"Pour les personnels administratifs : si l'académie de Toulouse a des créations de poste, d'autres académies en perdent. La FSU dénonce ce redéploiement et demande de véritables créations de poste, notamment dans les services où la RGPP a fait des ravages.
Nous tenons à rappeler notre position sur la requalification des postes de gestionnaire matériel. Pour nous, un gestionnaire, adjoint au chef d'établissement, doit être un personnel de catégorie A quels que soient les effectifs de l'établissement."

MESURES 

ARIEGE
SEP du LPO Pyrène PAMIERS                                   suppression d'1 A GM
LPO Pyrène PAMIERS                                                 création d'1 A NG 
Il s'agit d'une régularisation suite à l'intégration du LP Irénée Cros Pamiers

 AVEYRON 
Collège Rouquier RIGNAC                                          suppression d'1 GM et création d'un B GM 
Collège Fabre RODEZ                                                  suppression d'0.5 C et création d'1 C
Collège Kervallon Marcillac            blocage pour transformation d'un 1 A GM en B GM (poste non vacant)

HAUTE GARONNE
Collège Picasso FROUZINS - Collège Vinci TOURNEFEUILLE - Collège Vauquelin Toulouse :
blocages pour transformation de B GM en A GM.
Lycée Riquet Saint Orens                                           création d'1 A NG
Lycée Villefranche de Lauragais                                création d'1 GM, 1 B FA et 1 C
Lycée Vernant Pins Justaret                                        suppression d'1 B NG et création d'1 A NG
Lycée Saint Exupéry Blagnac                                    création d'1 B NG
CS Déodat Séverac Toulouse                                     création d'1 B NG
CS Rive Gauche Toulouse                                          création d'0.5 B BG 
Lycée Toulouse Lautrec Toulouse                              suppression d'1 C et création d'1 B FA
Lycée P Boucher Toulouse - lycée P Garros Toulouse : blocage pour suppression d'1 C et création 
d'1 BNG
Création d'un poste de catégorie A : aide et conseils aux EPLE - EPLE support à définir

GERS 
Collège Vasconie Mielan - Collège Rostand Eauze : blocage pour suppression d'1 A GM en B GM

LOT 
Lycée Monnerville Cahors                                            suppression d'0.5 B NG

HAUTE PYRENEES
Collège Pyrénées Tarbes                                               création d'0.5 C
Lycée Sixte Vignon Aureilhan                                       création d'0.5 C
CS Dupuy à Tarbes                                                          création d'O.5 C

TARN
Collège Pierre Suc Saint Sulpice                                    suppression d'1 B GM et création d'1 A GM
Collège L'Isle sur Tarn                                                      blocage pour suppression d'1 A GM et création d'1 BGM
Collège Camus Gaillac                                                     suppression d'0.5 B NG et création d'1 B NG
CS Louis Rascol Albi                                                          création d'1 B

TARN ET GARONNE
Collège Rousseau Labastide St Pierre  - Collège Lacaze Grisolles : blocage pour transformation :
suppression d'1 B GM et création d'1 A GM.

mercredi 30 mars 2016

MANIFESTATION ET GREVE 

POUR LE RETRAIT DU PROJET 

DE LOI EL KHOMRI

JEUDI 31 MARS 


A TOULOUSE : 10 h 30    Rendez Vous Marengo

dans le TARN  Rendez Vous :      
 Nord : place du Vigan 14 h à ALBI
 Sud  : place de l'Albinque à 17 h à CASTRES

dans les Hautes Pyrénées : 10 h 30 Bourse du Travail TARBES

dans le Gers : 10 h 30 Place de la libération AUCH

dans l'Aveyron : 14 h 30  Esplanade des Rutenes RODEZ

dans l'Ariège : 10 h 30 Allée des Villotes FOIX

mercredi 16 mars 2016

CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UET, FIDL : appel à la manifestation le jeudi 17 mars à 13h place Jeanne d’Arc Toulouse

Le compte n’y est pas,
amplifions la mobilisation jusqu’au retrait total !

Après la mobilisation du 9 mars, le gouvernement recule mais maintient le projet de loi anti travail
Les salariés, les jeunes et l’ensemble des citoyens ne sont pas dupes, les manipulations seront vouées à l’échec ! Le socle du projet de loi qui détruit les fondements même du code du travail et des droits sociaux qui y sont rattachés, demeure. Ce que la loi devait imposer, c’est la négociation sous chantage patronal qui l’obtiendra !
Sur les licenciements abusifs et illégaux :
Le plafonnement est remplacé par un barème indicatif. Sommes-nous satisfaits ?
Non il faut renforcer les sanctions et ne pas afficher un barème mais une « peine plancher » dissuasive !
Sur les licenciements économiques :
Le périmètre reste sur la France et continue d’exclure les résultats mondiaux du groupe, permettant toutes les manipulations de chiffres à l’échelle nationale. Sommes-nous satisfaits ?
Non il faut interdire les licenciements boursiers comme le candidat Hollande s’y était engagé !
Pour les jeunes :
Une garantie jeune pour les salariés précaires de moins de 26 ans Sommes-nous satisfaits ?
Non il faut de vrais droits pour les jeunes.
Pour le temps de travail
Recul sur le temps de travail des apprentis, les astreintes, le fractionnement du repos et l’extension du forfait jour se fera sur accord et non unilatéralement par l’employeur
MAIS LE DANGER RESTE ENTIER car les accords de branche deviendront « moins- disants » que le code du travail. Tous les objectifs patronaux retoqués dans le code du travail seront proposé à la négociation de branche, l’accord qui en découlera pourra être soumis par référendum au chantage patronal.
La relation de travail et le contrat de travail restent fragilisés. Tous les articles instaurant une précarité permanente du CDI demeurent. C’est le retour du CPE de Villepin pour tous et en pire !!
Par la convergence des luttes et la mobilisation, de réelles réformes visant le progrès social pour tous et le plein emploi peuvent être imposées !

Faisons de la journée d’action du 17 mars un nouveau rendez vous de la mobilisation pour le retrait du projet de loi Travail,
Rendez-vous à 13h place Jeanne d’Arc.

jeudi 18 février 2016

GROUPE DE TRAVAIL MOUVEMENT : NOUVEAUTE

"La demande de délégation rectorale devra être adressée en même temps que la confirmation de demande de mutation. La CAPA se prononcera sur le principe de la délégation rectorale et l'administration examinera la demande individuelle validée en CAPA au vu des postes vacants existant à la veille du début du travail d'affectation des lauréats de concours de recrutement."

mardi 9 février 2016

Pour nos primes : ni RIFSEEP, ni statu quo !

Revalorisation de nos rémunérations et égalité de traitement

Signer la pétition :

http://www.universite-democratique.org/rifseep/ 

mercredi 13 janvier 2016

Grève du 26 janvier : 

A Toulouse manifestation 10 h 30 Jeanne D’Arc

Intersyndical
Pour un service public de proximité et de qualité
Pour une nette augmentation du pouvoir d’achat
Pour des emplois publics statutaires
Le 26 janvier 2016, les fonctionnaires seront en grève et
manifesteront dans l’unité pour dire : L’austérité ça suffit !